Le sommeil est un besoin vital, au même titre que respirer, s’alimenter ou recevoir de l’affection. Et pourtant, il est encore trop souvent mal compris, tant par manque d’information que par la persistance de nombreuses idées reçues.
Accompagner un enfant vers un sommeil serein, c’est lui offrir les bases d’un bon développement physique, émotionnel et cognitif – mais c’est aussi offrir à ses parents un peu de répit, de clarté et de souffle.
Le sommeil du tout-petit peut vite devenir une source de stress, d’épuisement, ou de questionnements pour les parents. Réveils fréquents, endormissements difficiles, pleurs, besoin de contact constant… Ce que l’on nomme parfois « troubles du sommeil » chez le bébé n’est bien souvent que l’expression de besoins physiologiques normaux, mais déroutants.
Dans une société où l’on attend des bébés qu’ils “fassent leurs nuits” rapidement, il est essentiel de réapprendre à observer, à comprendre et à faire confiance.
Le sommeil est un besoin vital, au même titre que respirer, s’alimenter ou recevoir de l’affection. Et pourtant, il est encore trop souvent mal compris, tant par manque d’information que par la persistance de nombreuses idées reçues.
Accompagner un enfant vers un sommeil serein, c’est lui offrir les bases d’un bon développement physique, émotionnel et cognitif – mais c’est aussi offrir à ses parents un peu de répit, de clarté et de souffle.
Le sommeil du tout-petit peut vite devenir une source de stress, d’épuisement, ou de questionnements pour les parents. Réveils fréquents, endormissements difficiles, pleurs, besoin de contact constant… Ce que l’on nomme parfois « troubles du sommeil » chez le bébé n’est bien souvent que l’expression de besoins physiologiques normaux, mais déroutants.
Dans une société où l’on attend des bébés qu’ils “fassent leurs nuits” rapidement, il est essentiel de réapprendre à observer, à comprendre et à faire confiance.
Le sommeil est un besoin vital, au même titre que respirer, s’alimenter ou recevoir de l’affection. Et pourtant, il est encore trop souvent mal compris, tant par manque d’information que par la persistance de nombreuses idées reçues.
Accompagner un enfant vers un sommeil serein, c’est lui offrir les bases d’un bon développement physique, émotionnel et cognitif – mais c’est aussi offrir à ses parents un peu de répit, de clarté et de souffle.
Le sommeil du tout-petit peut vite devenir une source de stress, d’épuisement, ou de questionnements pour les parents. Réveils fréquents, endormissements difficiles, pleurs, besoin de contact constant… Ce que l’on nomme parfois « troubles du sommeil » chez le bébé n’est bien souvent que l’expression de besoins physiologiques normaux, mais déroutants.
Dans une société où l’on attend des bébés qu’ils “fassent leurs nuits” rapidement, il est essentiel de réapprendre à observer, à comprendre et à faire confiance.
Le sommeil est un besoin vital, au même titre que respirer, s’alimenter ou recevoir de l’affection. Et pourtant, il est encore trop souvent mal compris, tant par manque d’information que par la persistance de nombreuses idées reçues.
Accompagner un enfant vers un sommeil serein, c’est lui offrir les bases d’un bon développement physique, émotionnel et cognitif – mais c’est aussi offrir à ses parents un peu de répit, de clarté et de souffle.
Le sommeil du tout-petit peut vite devenir une source de stress, d’épuisement, ou de questionnements pour les parents. Réveils fréquents, endormissements difficiles, pleurs, besoin de contact constant… Ce que l’on nomme parfois « troubles du sommeil » chez le bébé n’est bien souvent que l’expression de besoins physiologiques normaux, mais déroutants.
Dans une société où l’on attend des bébés qu’ils “fassent leurs nuits” rapidement, il est essentiel de réapprendre à observer, à comprendre et à faire confiance.
Contrairement à ce que l’on peut parfois entendre, le sommeil n’est pas quelque chose que l’enfant doit apprendre. C’est une capacité biologique, présente dès la vie intra-utérine : le foetus dort, rêve, s’apaise déjà dans un cycle qui lui est propre.
Mais si dormir est inné, organiser ses cycles de sommeil dans un environnement aussi stimulant que celui du monde extérieur demande du temps, de la maturation… et beaucoup de sécurité affective. En effet, les structures du sommeil de l’enfant évoluent considérablement au cours des premières années de vie. Son sommeil est plus léger, plus morcelé, ponctué de réveils qui répondent à des besoins (nutritionnels, émotionnels, physiologiques). Ce n’est pas une anomalie, c’est un fonctionnement normal.
Le cerveau du bébé, encore immature, a besoin d’être accompagné avec douceur pour réguler peu à peu les phases d’éveil et de repos, en fonction de ses besoins internes et de son environnement. Ce que les neurosciences nous montrent aujourd’hui, c’est que la régularité, la prévisibilité, le lien d’attachement sécure et l’absence de stress chronique sont les piliers d’un sommeil de qualité.
De nombreux parents vivent une grande détresse liée au sommeil de leur enfant : nuits hachées, pleurs inconsolables, réveils fréquents, siestes écourtées… À la fatigue s’ajoutent souvent des injonctions contradictoires, des conseils culpabilisants, des doutes qui rongent.
Et l’allaitement, bien qu’extrêmement bénéfique pour l’enfant, est parfois injustement accusé d’être un obstacle au sommeil… alors qu’il en est souvent un facilitateur, lorsqu’il est intégré à un accompagnement global et respectueux.
Les “troubles du sommeil” du nourrisson ne sont pas une fatalité. Ils ne “passeront pas forcément tout seuls”. Des études longitudinales, comme celles du Dr Jodi Mindell, montrent que sans accompagnement, ces difficultés peuvent persister des années, impactant profondément le bien-être de l’enfant, de ses parents, et parfois même de la fratrie.
Contrairement à ce que l’on peut parfois entendre, le sommeil n’est pas quelque chose que l’enfant doit apprendre. C’est une capacité biologique, présente dès la vie intra-utérine : le foetus dort, rêve, s’apaise déjà dans un cycle qui lui est propre.
Mais si dormir est inné, organiser ses cycles de sommeil dans un environnement aussi stimulant que celui du monde extérieur demande du temps, de la maturation… et beaucoup de sécurité affective. En effet, les structures du sommeil de l’enfant évoluent considérablement au cours des premières années de vie. Son sommeil est plus léger, plus morcelé, ponctué de réveils qui répondent à des besoins (nutritionnels, émotionnels, physiologiques). Ce n’est pas une anomalie, c’est un fonctionnement normal.
Le cerveau du bébé, encore immature, a besoin d’être accompagné avec douceur pour réguler peu à peu les phases d’éveil et de repos, en fonction de ses besoins internes et de son environnement. Ce que les neurosciences nous montrent aujourd’hui, c’est que la régularité, la prévisibilité, le lien d’attachement sécure et l’absence de stress chronique sont les piliers d’un sommeil de qualité.
De nombreux parents vivent une grande détresse liée au sommeil de leur enfant : nuits hachées, pleurs inconsolables, réveils fréquents, siestes écourtées… À la fatigue s’ajoutent souvent des injonctions contradictoires, des conseils culpabilisants, des doutes qui rongent.
Et l’allaitement, bien qu’extrêmement bénéfique pour l’enfant, est parfois injustement accusé d’être un obstacle au sommeil… alors qu’il en est souvent un facilitateur, lorsqu’il est intégré à un accompagnement global et respectueux.
Les “troubles du sommeil” du nourrisson ne sont pas une fatalité. Ils ne “passeront pas forcément tout seuls”. Des études longitudinales, comme celles du Dr Jodi Mindell, montrent que sans accompagnement, ces difficultés peuvent persister des années, impactant profondément le bien-être de l’enfant, de ses parents, et parfois même de la fratrie.
Contrairement à ce que l’on peut parfois entendre, le sommeil n’est pas quelque chose que l’enfant doit apprendre. C’est une capacité biologique, présente dès la vie intra-utérine : le foetus dort, rêve, s’apaise déjà dans un cycle qui lui est propre.
Mais si dormir est inné, organiser ses cycles de sommeil dans un environnement aussi stimulant que celui du monde extérieur demande du temps, de la maturation… et beaucoup de sécurité affective. En effet, les structures du sommeil de l’enfant évoluent considérablement au cours des premières années de vie. Son sommeil est plus léger, plus morcelé, ponctué de réveils qui répondent à des besoins (nutritionnels, émotionnels, physiologiques). Ce n’est pas une anomalie, c’est un fonctionnement normal.
Le cerveau du bébé, encore immature, a besoin d’être accompagné avec douceur pour réguler peu à peu les phases d’éveil et de repos, en fonction de ses besoins internes et de son environnement. Ce que les neurosciences nous montrent aujourd’hui, c’est que la régularité, la prévisibilité, le lien d’attachement sécure et l’absence de stress chronique sont les piliers d’un sommeil de qualité.
De nombreux parents vivent une grande détresse liée au sommeil de leur enfant : nuits hachées, pleurs inconsolables, réveils fréquents, siestes écourtées… À la fatigue s’ajoutent souvent des injonctions contradictoires, des conseils culpabilisants, des doutes qui rongent.
Et l’allaitement, bien qu’extrêmement bénéfique pour l’enfant, est parfois injustement accusé d’être un obstacle au sommeil… alors qu’il en est souvent un facilitateur, lorsqu’il est intégré à un accompagnement global et respectueux.
Les “troubles du sommeil” du nourrisson ne sont pas une fatalité. Ils ne “passeront pas forcément tout seuls”. Des études longitudinales, comme celles du Dr Jodi Mindell, montrent que sans accompagnement, ces difficultés peuvent persister des années, impactant profondément le bien-être de l’enfant, de ses parents, et parfois même de la fratrie.
Contrairement à ce que l’on peut parfois entendre, le sommeil n’est pas quelque chose que l’enfant doit apprendre. C’est une capacité biologique, présente dès la vie intra-utérine : le foetus dort, rêve, s’apaise déjà dans un cycle qui lui est propre.
Mais si dormir est inné, organiser ses cycles de sommeil dans un environnement aussi stimulant que celui du monde extérieur demande du temps, de la maturation… et beaucoup de sécurité affective. En effet, les structures du sommeil de l’enfant évoluent considérablement au cours des premières années de vie. Son sommeil est plus léger, plus morcelé, ponctué de réveils qui répondent à des besoins (nutritionnels, émotionnels, physiologiques). Ce n’est pas une anomalie, c’est un fonctionnement normal.
Le cerveau du bébé, encore immature, a besoin d’être accompagné avec douceur pour réguler peu à peu les phases d’éveil et de repos, en fonction de ses besoins internes et de son environnement. Ce que les neurosciences nous montrent aujourd’hui, c’est que la régularité, la prévisibilité, le lien d’attachement sécure et l’absence de stress chronique sont les piliers d’un sommeil de qualité.
De nombreux parents vivent une grande détresse liée au sommeil de leur enfant : nuits hachées, pleurs inconsolables, réveils fréquents, siestes écourtées… À la fatigue s’ajoutent souvent des injonctions contradictoires, des conseils culpabilisants, des doutes qui rongent.
Et l’allaitement, bien qu’extrêmement bénéfique pour l’enfant, est parfois injustement accusé d’être un obstacle au sommeil… alors qu’il en est souvent un facilitateur, lorsqu’il est intégré à un accompagnement global et respectueux.
Les “troubles du sommeil” du nourrisson ne sont pas une fatalité. Ils ne “passeront pas forcément tout seuls”. Des études longitudinales, comme celles du Dr Jodi Mindell, montrent que sans accompagnement, ces difficultés peuvent persister des années, impactant profondément le bien-être de l’enfant, de ses parents, et parfois même de la fratrie.
En tant que professionnelle formée par Nathalie Debrock (référente et conférencière dans ce domaine), certifiée par l’École du Bien-Naître à l’accompagnement du sommeil de l’enfant de la naissance à 3 ans, je vous propose un accompagnement global et personnalisé.
Mon rôle est de vous aider à comprendre ce qui se joue pour votre enfant, à repérer ce qui pourrait gêner son sommeil (problématique physique, inconfort, rythme inadapté, angoisse de séparation…), à poser un cadre rassurant, stable, qui permette à chacun de retrouver de la sécurité.
Nous avançons ensemble, dans une démarche douce, progressive, sans pression ni méthode unique. Chaque bébé est différent. Chaque famille a son histoire. Je vous propose un accompagnement sur mesure, pour que vous puissiez, à votre rythme, retrouver des nuits plus sereines et un quotidien apaisé.
Une approche basée sur l’écoute active, l’ajustement, et la sécurité affective.
Je vous aide à :
• Comprendre le fonctionnement du sommeil selon l’âge et le développement de votre enfant
• Repérer les signaux de fatigue et ajuster les rythmes en douceur
• Apaiser les endormissements (avec ou sans pleurs)
• Améliorer la qualité du sommeil
• Accueillir les réveils nocturnes de manière plus sereine
• Réfléchir à des alternatives respectueuses au cododo, au bercement, à l’endormissement au sein
• Accompagner une transition de sommeil (retour au travail, déménagement, changement d’environnement…)
• Un espace pour déposer vos doutes, vos peurs, vos colères aussi.
• Une compréhension fine du développement émotionnel et sensoriel du bébé.
• Une approche respectueuse de votre histoire familiale, de votre lien d’attachement, et de vos intuitions.
• Des outils concrets pour apaiser les nuits, petit à petit, avec douceur.
Je ne propose ni méthode miracle, ni solution toute faite. Ensemble, nous observons, nous ajustons, et nous trouvons le chemin qui vous convient, à vous et à votre enfant.
• Un espace pour déposer vos doutes, vos peurs, vos colères aussi.
• Une compréhension fine du développement émotionnel et sensoriel du bébé.
• Une approche respectueuse de votre histoire familiale, de votre lien d’attachement, et de vos intuitions.
• Des outils concrets pour apaiser les nuits, petit à petit, avec douceur.
Je ne propose ni méthode miracle, ni solution toute faite. Ensemble, nous observons, nous ajustons, et nous trouvons le chemin qui vous convient, à vous et à votre enfant.
Nous faisons ensemble le point sur :
● Les habitudes actuelles de sommeil
● L’environnement (physique, affectif, émotionnel)
● Les attentes et les limites de chacun
● Les petits changements possibles, à votre rythme
Première séance : 80€, prévoir 1h30
Séance de suivi si besoin, avec étude de l’agenda du sommeil : 60€, prévoir 1h
À domicile ou en visio
Nous faisons ensemble le point sur :
● Les habitudes actuelles de sommeil
● L’environnement (physique, affectif, émotionnel)
● Les attentes et les limites de chacun
● Les petits changements possibles, à votre rythme
Première séance : 80€, prévoir 1h30
Séance de suivi si besoin, avec étude de l’agenda du sommeil : 60€, prévoir 1h
À domicile ou en visio
En tant que professionnelle formée par Nathalie Debrock (référente et conférencière dans ce domaine), certifiée par l’École du Bien-Naître à l’accompagnement du sommeil de l’enfant de la naissance à 3 ans, je vous propose un accompagnement global et personnalisé.
Mon rôle est de vous aider à comprendre ce qui se joue pour votre enfant, à repérer ce qui pourrait gêner son sommeil (problématique physique, inconfort, rythme inadapté, angoisse de séparation…), à poser un cadre rassurant, stable, qui permette à chacun de retrouver de la sécurité.
Nous avançons ensemble, dans une démarche douce, progressive, sans pression ni méthode unique. Chaque bébé est différent. Chaque famille a son histoire. Je vous propose un accompagnement sur mesure, pour que vous puissiez, à votre rythme, retrouver des nuits plus sereines et un quotidien apaisé.
Une approche basée sur l’écoute active, l’ajustement, et la sécurité affective.
Je vous aide à :
• Comprendre le fonctionnement du sommeil selon l’âge et le développement de votre enfant
• Repérer les signaux de fatigue et ajuster les rythmes en douceur
• Apaiser les endormissements (avec ou sans pleurs)
• Améliorer la qualité du sommeil
• Accueillir les réveils nocturnes de manière plus sereine
• Réfléchir à des alternatives respectueuses au cododo, au bercement, à l’endormissement au sein
• Accompagner une transition de sommeil (retour au travail, déménagement, changement d’environnement…)
• Un espace pour déposer vos doutes, vos peurs, vos colères aussi.
• Une compréhension fine du développement émotionnel et sensoriel du bébé.
• Une approche respectueuse de votre histoire familiale, de votre lien d’attachement, et de vos intuitions.
• Des outils concrets pour apaiser les nuits, petit à petit, avec douceur.
Je ne propose ni méthode miracle, ni solution toute faite. Ensemble, nous observons, nous ajustons, et nous trouvons le chemin qui vous convient, à vous et à votre enfant.
Nous faisons ensemble le point sur :
● Les habitudes actuelles de sommeil
● L’environnement (physique, affectif, émotionnel)
● Les attentes et les limites de chacun
● Les petits changements possibles, à votre rythme
Première séance : 80€, prévoir 1h30
Séance de suivi si besoin, avec étude de l’agenda du sommeil : 60€, prévoir 1h
À domicile ou en visio
Il n’y a rien d’anormal dans le fait que votre bébé se réveille, ait besoin de contact, ou pleure pour s’endormir. Ces comportements sont fréquents, normaux, et liés à son développement.
Ce n’est pas vous qui faites mal. Ce n’est pas votre bébé qui a un problème. C’est l’environnement et les attentes sociales qui sont parfois inadaptés.
Vous méritez un espace d’écoute, de réassurance et d’ajustement dans le respect de vos valeurs parentales.
© Instinct Koā – 2025